Chapitre dix-huit d'une finalité approchée...

Chapitre dix-huit d'une finalité approchée

L'ombre lumière qui veille…

Ce toujours de lui accompagnée, magnifiée magie la chance… sans pourtant le demander, ni jamais le prier… non plus la pertinence ces preuves à appuyer vérité société obligée… l'évidence d'un étrange, mon Ange, sans doute non pas l'unique mien - je n'y connais vraiment rien… l'Ange qui conduit véritablement mon destin…

Éduquée d'un monde non pas chrétien mais à tendance "il fallait bien" catholique, la foi en Dieu a toujours été présente… la majuscule l'indique si simplement, une acquise tendance qui emmène pratique ma convenance… et pourtant… la libre affection existe, est de ce mien à ne jamais imposer, essayer de ne formuler pas un jugement… m'apaiser de toutes nos différences, croire, loin d'une conviction, d'une naturelle prédilection… l'élan vers l'autre, l'inné à protéger, à clore aussi l'éclosion creux protection, le douillet d'une maison, le tout bleu pour eux d'un lieu…

Il fut ce temps où mon proche entourage s'était convaincu de ma voie céleste, une bonne sœur, tellement j'étais ailleurs, tant et plus, je souriais le bonheur, la portée de ne pas, jamais importuner… l'évitée en peur à devenir l'abandonnée… me retrouver, cependant,  seule l'isolée ce vide dont je vous ai déjà parlé… la bonne tout aussi à tout faire, elle qui ne comptait, elle qui finalement ne dérangeait… ce petit gris s'est construit immensité d'un bleu…

Anecdote très rigolote… la première communion, la première hostie à ne surtout pas croquer… passage d'un obligé dans cette curieuse armoire à rideaux… y devoir me présenter par deux fois… ne faire pas une bêtise, elle-ce je était un ange… était… le pur d'un pensé religion belle, m'a offert l'absolu devoir d'inventer, de simplement mentir une faute pour grandir de ce rond qui fond magie, sur la langue…

Et puis, et puis ma destinée s'est élargie d'une foi bien plus immense, créée cette part délicieuse hypothèse esprit mien si logique… et le bleu s'est avancé, dévoilé, m'a happée, secouée tendresse de ses larmes salées à douceur m'éparpiller…

L'échappée ma liberté m'a frôlée folie, dévorée littéralement d'une seule et unique pensée, résultat d'une équation de toute une vie, sans inconnues, l'axiome sommé mes pas, la clarté d'une singulière vérité… le non et jamais différé l'indifférence, le dit aimer mais avancée non réalité pensé… trop douloureuse sentence imaginée non méritée… punie de m'être tue, oubliée, des autres confondue…

Et toutes mes nombreuses rencontres… à noter le jamais d'un seul à me retrouver, la curieuse et pas moins étrange coïncidence de pouvoir toujours écrire, mots me délivrer à un quelqu'un… l'un me menant subtilement à l'autre, m'esquissant inconscient sa déjà présence… m'emmenant au point mon seul destin… inconnaissance pourtant le sort qui sera mien… je le sens simplement étiré bonheur, le sourire d'en-fin mon cœur… je n'ai rien à perdre, naître poussière l'Univers…

Et l'immense d'une incommensurable chance, le hasard, son ami intime à croiser hommes, par tous merveilleux… richesse d'êtres à fabuleuses découvertes, la leur mais aussi l'importance celle l'unique mienne… ma réelle portée disposée à leur sujet, l'amour d'un ange sans pas la faculté à pouvoir les éclairer, naissant le mal entendu d'un naturel à simplement aimer… mais aussi, tristesse profondeur chagrin, la constatée ces faux semblants, d'une quête à sans doute trop plaire, à se croire en devoir d'être mon reflet miroir… et d'un trop gouffre différence entre l'écrit, le dire et l'être à bouger, à vivre…

Je le sais, là, tout près de moi et tout autant éloigné, prêt à simplement me réanimer, me colorer, encore et encore, cette quête d'un particulier croire, d'un possible un jour d'aimer sans devoirs à retenir, l'être naturel, sans doute adulte trop attardée mais en devenir… je suis à l'aube d'une éternelle Infini…T