Le treize… chiffre à rêves, la rencontre illuminée ce sept ma destinée…
Un Ange, le vrai d’un ange… un homme tellement autre, non attaché notre société, hors sens… sans doute de cette révolte par trop couvée, peut-être de rêves siens lui excessivement égarés… ma main sur son cœur… je l’aime souvenir, je l’aime attirance, mélange, nos mêlés, nos si mêmes ressemblances… mon Ange, le seul ma vie là, rencontré, le seul à m’avoir tant secouée dans sa différence, son moi construit vie libérée…
D’un hasard de quelques mots sur ce fameux site de rencontres, magie transformés en si beaux textes… à m’envoler ce rêve tant espéré…
Daniel d’un rêve, dans ce ciel arrêté, de son intelligence rassuré… son sourire, l’enfant là, retrouvé… je t’aime ce toujours d’un toi donné… instants de ta délivrance, pressants de mon innocence…
Le soir d’une lune à briller, après tant de mots échangés, malgré ma peur de ne pas réalité lui plaire, nous nous sommes retrouvés… romance d’un banc ce parc mal éclairé… je t’ai demandé… mes yeux, laisser ton regard s’y perdre, te sentir, ressentir, voir cet au-delà… s’emmêler… et ta main délicatement effleurée… je t’aime mon Ange… pas de passé ce présent, un toujours éternité…
Ton projet, la mer… la rencontre de deux bleus, le rond vie à tenter… me l’offrir songe, m’y laisser venir, si doucement, tellement tendrement… infiniment…
De lui, par lui… Je vogue, je plane, je suis en suspension… et le monde s'ouvre… il est tôt mais déjà tout est sombre, le foncé du bleu… la nuit qui m'enroule, la nuit qui appelle… la nuit et déjà le jour sera bientôt là accompagné d’une journée toute nouvelle… elle sera belle, elle sera pour toi… je t'offre ce qu'elle me réserve de plus beau, je te donne la sensation des instants qui seront… je t'aime, mon Ange, je t'aime et mon cœur en t'imaginant, accélère ses mouvements, il chuchote au creux de ma poitrine, et je l'entends, je le sens qui résonne, lui aussi veut s'épanouir pour mieux s'enfuir, ne plus être prisonnier… libre… bientôt…
Et finit la peur des pleurs, je le laisserai être mon maître, il me guidera comme toujours il m'a emmenée mais avec toute la liberté ! Je veux vibrer en cette belle journée, frémir, frissonner dans l'entier pour un homme, une exception, le don d'une vie, la richesse d'une poussière, infinie lumière… qui veut et qui sait comment frôler, toucher et se mélanger à l'immense de l'univers… glisser dans l'infinité… je veux t'aimer intense, je veux t'aimer pétillance, je veux t'aimer dans la force du tendre, et dans le bruit délicat du silence, et dans l'apaisement qui bruisse de toutes ses étranges phonèmes… me noyer dans le bleu… et garder, précieux, celui de tes yeux…
Il m’a offert tout l’espace, sa dimension, la vérité d’un impossible cadeau temps…
Et le destin lui a donné à retrouver son âme sœur… son autre Elle…
Lui offrir alors que le non choix… le mouvement à lui donner… une autre chance, celle de vivre autrement intensément, de changer l'expression de la passion… cet instant qui sublime celui passé et n'attend que le suivant… oublier le temps… il n’est que leurre Univers... le passé n'est... ni non plus son avenir et le présent naît dans l'instant… ce creux de la seconde qui exprime si vite que souvent rien est ce qu'on entend… l'emportement à demain néglige qu'il ne sera jamais que s'il devient est…
Lui souhaiter le feu renouvelé… l'Amour infinité, le bleu couleur rien qu’eux… seuls au monde dans leur pareille indifférence... ma différence ne m'offre que le choix de l'exclusion dans une particulière autre appartenance… l'ailleurs...
Je lui ai offert le non choix car je ne suis pas… un de ces deux Elles à division, le partager, l’entier à me devoir, à ne pouvoir que recevoir… ne plus qu’être à souffler, de son expiré… je n'existe pas…