Le cinq aspiré singulière amitié…
Un pensé ami, un frère, un double… qui n'est, ne fut finalement qu'un fréquenté de ce gris par trop assombri.
Le ressenti pensé identique et pourtant différent…
Si je suis composée d'une douce mélancolie...
Si je vois de cet au-delà, ressens infiniment ce bleu… perçois la lumière qui, tant pétille le regard, l'immensité à exister…
Si je souris la vie, je la vibre essentiels instants…
Présents si petits bonheurs d'immenses joies… mon cœur à toujours là, s'exalter, comme à s'exploser… par, et la pétillance née le vent, ou la pluie, et le ciel toujours… ou cet encore éveil effleuré soleil, une caresse… cette tendresse, si profonde réelle ivresse…
Instants…
Le sourire éclat d'un passant, une feuille soufflée par le vent… un, le presque rien qui emmène toujours vers le Tout…
Et j'ouvre les bras, m'élève, m'imprègne à m'envoler… équilibre le vide si plein de moi, éparpille le trop émoi…
Lui vit de rancœur, de douleurs, se regarde, critique, juge et se sent non pas d'ailleurs, mais par trop supérieur...
Il s'est joué souffrance à là, se tuer… me rendant coupable de mon peu d'attention, me sentant alors, impliquée responsable sa vie, son singulier bonheur…
Nous nous sommes vus, avons dégustés quelques cafés ensemble… une terrasse, un café, une après midi magnifiée printemps…
L'éprouvé… je méprise la médisance à se charmer, ce décrié à fuir, à ne plus que m'en aller…
Et je ne sais plus…
Manipulation… illusion, utilisation à satisfaire cette frayeur d'un seul face à soi, l'absolu de trouver une quelqu'une…
Qu'importe, je sais qui je suis… le choix autre vie…
Ce sens, sans devoirs, sans avoir à me sentir mal tant un regard peut me blesser…
Le par trop étrange de saisir ce que l'autre voit…
Et ne pas, ne plus vouloir ou encore, pouvoir sortir dans ce maintenant… à la rencontre…
Le dehors me fait peur, me trouble dans ma perception extra sensitive des autres…
Non plus comprendre le calcul, le manipulé, le désir de détruire… écrire… m'envoler les mots, dire vrai…
Vivre en vérité, sans pour l'autre pourtant, n'avoir jamais exister…
Et comme ce soir, tu me l'as magnifiquement écrit, oui, Toi…
Le rêve peut combler les distances entre les moments intenses de réalité… la qualité alors prime sans routine et sans contraintes sur la quantité…
Je guide le rêve… de lui, je suis infiniment mêlée…
A Toi, merci !