Toi, cet homme dernier que j'ai, il y a peu, rencontré, toi qui attends lecture sublime… me lire pour te transporter, écrire pour te délier, là est la liberté, les différences non balancées… ne pas t'offrir chagrin de mots à secouer, pourtant ne pas m'écarter ma vérité… la seule mienne, vision intime mon petit esprit qui n'implique en rien, ni ne colorie celle universelle ou encore la particulière tienne…
Ce soir d'immense peine, l'isolée souffrance différence monde trop mien perdu ce creux monde si vôtre… un besoin, un désir intense à communiquer, l'envol d'émoi à me retourner… l'envoi d'un seul message, via ton blog à notes… ta banale réponse à pourtant me réchauffer léger, à apaiser mes pleurs commune agape ton cœur, baume à glacer le mien, le figer à m'éloigner encore vie réelle…
Elle depuis la nuit des temps dans la lune…
Et nous retrouver, en cet horrible orangé, un matin, au hasard d'une idem curiosité à simplement nous inquiéter de nos éventuels et trop inconditionnels espérés messages… à tant vouloir, ce "veut" absolu né par trop l'espérance souvent soufflée…
Et je me suis informée appétit d'un croire possible, de tendre la moindre possibilité… ton âge, là, affiché… l'accroche mon esprit à l'empêcher de te rêver… dix ans à nous séparer, ta jeunesse face à l'âge mien marqué date à ne jamais oublier…
Messages, mots à nous partager, te laisser croire l'exception d'un hasard, banal là si peu hasardé, cœurs seuls à seulement solliciter… ne pas te blesser, m'ouvrir autrement, t'offrir vue l'amour autrement… toi qui sortait d'une histoire, occupé présent une autre… tes confidences l'aube d'une peut-être belle amitié… le sens des amouritié et amimour… penser, croire réellement que tu pouvais comprendre, admettre, regarder, détachés de toutes nos croyances, tous nos acquis, nos appris… non pas tenter une expérience, en devenir être entier… instinct à ranimer … l'idiote à encore m'afficher…
Je n'ai pas un reproche, ta gentillesse naturelle, presque innée est simplement à aimer… comme ça pour rien, sorte de copinage, nous, croisés de passage, passants se souriant et continuant égoïstement… qui - de toi dit - d'un click disparaîtront, la magie d'une multitude à possibles, d'Elles encore plus belles, tendre la suivante… l'expérience en devenir, accroc aux faux beaux mots… suivant son destin, chacun occupé profondément à son ego besoin…
Nous nous sommes rencontrés réalité, un jour à nous mouiller de cette pluie si fine qui m'ouvre toujours liberté… nous aimer corps à nous mélanger, d'un savoir déjà dessiné de ce rien commun nos mesures à réunir nos destinées…
Le sens… j'ai appris, j'ai encore grandi mon esprit… sagesse d'un savoir ce sens hors ton sens… laisser partir, fuir ce non comprendre du dire et du faire, de la pensée et de l'être… par trop logique, par trop étrange, multiplicité n'est pas l'opposé l'entier… je vis de vérité, l'inconcevable réalité…
Tout porte à croire, à me porter différence… le soufflé ces mots ici ou là déposés, à retour simplement dirigés… l'amitié est vivacité… la dimension, ou réelle, ou virtuelle toujours existée… la dissemblance est dans le sens qu'on l'indéfini, indéfiniment la colorie… le bleu, cette couleur que j'use, dont j'abuse n'est pas un mot à m'amuser ou à vous jouer… elle est son, non matière, ton… infinité la plus belle immensité… la perfection à s'effleurer, à tendre, à espérer sans jamais pouvoir l'atteindre réalité…
Je sais écrire de travers, à l'envers de ce droit votre à l'endroit, eh bien tant pis… j'erre, d'ici, de là, sourires souvent à mourir, sourires à larmes me dire que je ne suis décidément pas d'ici…
Tu vois, oui, toi que je ne nommerai, je suis réalité à jeter…