Le six arrondi sublime éclat vie…
Et, je ne voulais plus de rencontres, d'encore ce leurre à se voir réalité à se masquer…
Par trop perceptible, tant manipulable… l'être incommensurable crétine à rêves pétillés fond des yeux…
Et le hasard cet intime ami chance…
Par un extraordinaire si banal jour à s'étirer, quelques mots là, simplement échangés, un désir commun d'écrire, l'idem d'un drôle à user, à abuser de petits points…
Plus d'un million de voyelles – consonnes d'elles magnifiées – de cet entre nous, gentiment, éperdues douce folie, dessinées… et vibrées, et culbutées, tant souries ou pleurées…
Se dire, nous dévoiler… l'Afrique, les cuberdons, le vélo, la pluie, le vent… ce si beau sien, ce trop vrai mien… tant et si trop peu nos bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx…
Perdu dans une souffrance à pénitences… cicatrice sans nom… nous nous sommes élevés hors sa peine condamnation…
Présent sien d'un deuil si long chemin, pleurer mon Papa… si secoué chagrin beaucoup trop contenu, inconsciemment retenu…
Il m'a offert à relire, essayer… ne pas déconnecter pour ailleurs m'envoler…
Soie de Baricco, un si petit livre… m'y tenir, y vivre, retenir, entrer en la belle histoire et la dernière page de larmes l'inonder…"PS : parce que tu es inestimable…"
Un ami, un frère, un père, un fils… mélange singulier, hautement emmêlé, confondu, ce je et tu fondu… et si profonde consistance tellement tendre, et l'Amour là, tant pétillance particulière à vivifier…
Je l'aime étrange, sens du toujours à jamais, l'infini nous préserve, l'éternité… dégagée seule vraie liberté…
Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois dans le confetti du Cinquantenaire…
Et son regard, sa douceur, son sourire enjôleur, son bruit de rire…
Une connivence complicité simplement pétillée… son intelligence, son amour…
Sa main velouté délicatesse touchée, ses lèvres baisés tendre passion déposée…
Il s'accompagne depuis plus de vingt ans, l'unique grand Amour, une femme qu'il aime plus qu'intensément… Trois enfants sont nés ce magnifique sentiment…
Et il se cherche, il se perd, revient et s'égare.
Je ne peux voler l'amour étoile destinée d'une autre, notre singulière amitié particulière ailleurs s'est délicieusement posée, de cette dimension existe présent à jamais, pourtant passé dessiné monde d'ici par le désir de ne plus se voir, seulement se croiser, et un rien, banaliser le dire trop à fleur nos âmes…
Il s'inquiète de moi, j'onde bleu lui… nous nous aimons autrement…
Se garder éternité…
Merci Pilou, toi, Fil d'Ariane…