Le drôle d'un mois nommé quatre… encore… à m'abattre…
Le hasard succès à insuccès m'a fait croiser cet écran substance chimères, plus ou moins dans le même laps de temps, trois hommes, trio si différence, si dissemblance et pourtant perçu instinct d'une même gentillesse pour les deux premiers… Patrick et Pierre tandis que pour le troisième, Karim… se dessinait une sorte ressenti frein, l'acquis alarme appréhension à me méfier…
Ce neuf rencontré...
Un si beau dimanche d'avril, dans cet après midi à étirer, là derrière mon petit PC, je me suis amusée… sourires et rires mêlés, sans pas une pensée à légitimer un quelconque sentiment, un naturel amitié, l'inné à aimer spontané, le pétillé si bulles délivrance l'adulte à devoir être, la joie pure… nous nous sommes échangés un nombre incalculable de messages rigolos, un peu sots, taquins, parfois coquins… bien loin intellect malin, raison nos déraisons, l'adoré sucré… et doucement nous nous sommes attirés… lui d'un seul, moi émerveillée par tant de gentillesse… il aime tant ses enfants, tant et plus… l'amour autour est toujours palpable même à travers les mots semblés froids écran pourtant éclairé…
Depuis peu, juste aube amour imaginé précédent, un mal étrange s'est emparé corps mien sans l'âme, m'offrant angoisses à découvrir, punition à me subir… j'y reviendrai plus tard, en cette fin avenir d'écrire…
Pulsée toujours vérité, le tout mien lui avait été froidement et intégralement communiqué, et mes multiples aventures, ma si minuscule existence, mon être étrange accompagné d'un mal tout aussi idem mélange…
Malgré le possible gravité, malgré quelques examens pas très décents à devoir me dépasser… dessinée éventuel non attirance, chemin à pouvoir naître pulsion répulsion, il s'est accroché… à non justifier, à vivre duo normalité, à m'exister… les mots qui tant me tremblent, les conversations ce net, d'autres parlées, soupirées… une première rencontre plus que douleur tourmentée, non plus sens à voir, à me faire examiner… mais mal à m'accompagner non encore apprivoisé… la balade d'une station de métro vers la suivie autre… une main délicatesse couvrant la mienne, des mots à son bruissé l'autour ce monde, hors, dehors face à la réalité… un baiser pour nous quitter… une promesse non dite d'un revoir plus approfondi…
Nous sommes retrouvés par trois fois, ou chez moi ou chez lui… il m'a ouvert tout grand sa vie… m'a cadeau saveur, préparé le vrai d'un délice cappuccino … souvenir satiné palais… le goût est le singulier d'un sens qui ne s'égare jamais… une balade brocantée, première jamais réalisée m'a découvert si épreuve, trop souffrance et m'a ouvert à la solitude d'un "seule" à vouloir, à ne plus que pouvoir…
Je correspondais dans le même temps d'avec Pierre et Karim, l'innée pour l'un, l'insidieuse pour l'autre… attirance, caresses fleuries narcisse, m'ont fait me poser… ces questions à dévoiler vérité, sincérité… fuir le mensonge, ne pas me mentir, me suivre valeurs profonde couleur… pause tout aussi logique à me dire, le si d'un doute à m'insinuer, si l'un, si lui, si l'autre… l'impossible d'un entier m'a emmenée ma vérité avouée recul influencée… à ne pas continuer…