Le six d'un naturel continué...

Le six d'un naturel continué

L'après maintenant réminiscence… l'effondrement émotion évidence nouvelle réalité, trouble à folie inconditionnelle…

Il disait m'aimer, encore, toujours, celui que j'avais égoïstement et pleinement abandonné, prêt, à mon signe, ce tout à réessayer… une autre femme, nouvelle compagne si vite retrouvée…

Le hasard d'un dit à si désolées peines et n'y voir pourtant que l'immédiat vrai contentement, le spontané naturel joie pour lui, sienne, qu'il puisse revivre et me laisser définitivement sérénité adoucie et libre d'une isolée…
Et la pensée, divaguées parfois à abandonner mais impossible à, jamais, contrôler…
Simplement constater, logique si assurée infaillible, remarquer cette particulière finalité, le concept mon aîné dans la confidence, le non son choix sélection pourtant vie influencée, la tendance évidence à ne rien me dire, me protéger, ne pas s'y mêler… une douleur errance à interpréter, à me déchirer, une haine à naître envers l'adulte qui l'avait là, conduit...
Et une autre en ce récent passé chez moi, dans ce "fut", si bien de mes mains construit sens non à figurer, ce bleu luminance si propre, intime rêve harmonie vie… me remplacer dans le seul rôle vérité d'elle… maman.

Je ne l'aimais plus, je ne l'aime plus… indifférence…
Ne pourtant pas atteindre l'attendue réponse d'un possible à aimer intense souriées d'une autre, sans le passage cru obligé d'une sorte contrainte deuil, à naître pourtant naturels souvenirs à étendre…

Et sans prévenir, le souffle violence tourmente, la rencontre ombrée du fond, le creux vide à cogner vide et si noire à ne plus percevoir…
Le constat d'une trop vraie, trop réelle réalité, LE non amour temps – hors pressants si peu de celui tremblé Papa – cet instant aube ce monde, étiré là… en mars, en février, entre les deux… l'oubli, je ne m'en souviens pas, seuls s'accrochent les sensations de ne pouvoir m'en échapper, le sens d'être mangée, dévorée par une pensée, qui tourne, cogne, tourne, bât seule vivacité…

Ne pas vouloir sortir, de ce dehors me fuir, à m'enfuir, ni en sortir, non plus en pouvoir émerger indemne, pareille… une folie, la vraie… frôlements aliénés, effleurements délirés… et me manquer, oublier de manger, ne plus dormir, pleurer sans l'arrêt paix hors sanglots… me restait le travail, j'y flottais…

Cet amour autour, je ne pensais pas en susciter autant… mes enfants, l'aîné en particulier, sa copine d'alors – aujourd'hui, prémices d'une autre vie – ailleurs pourtant là, creux mon cœur, une précieuse amie collègue, une autre inestimable, toute l'équipe, des utilisateurs…
Les uns m'ont simplement force soutenue de sourires, une douce connivence si particulier silence… les autres m'ont poussée élan, à m'inscrire sur ces sites, délier vivacité, d'une rencontre à y rêver… voir autre chose, l'éveil à essayer, partir d'ailleurs, ici revenir…

Et ne plus pouvoir lire, m'attacher lettres, d'eux retenir suivi du conte, d'ici simplement m'évaporer, delà, d'ailleurs me retrouver, l'élancée connexion interrompue… ne plus pouvoir là, m'évader, deçà m'exister, et me fermer, perdre le rêve…
En chemin vers la différence illuminée… me mêler rêve non matière, rejoindre cette fin, enfin frôler les anges…